Nicole Berger

Au sujet des exposés de Creac'h-Euzen

Bravo pour tout votre travail.

j'imagine un travail de recherche très important et précis, et je suis admirative .

 

Denise junger

Au sujet des exposés de Creac'h-Euzen

J'ai lu avec plaisir votre 2ème livre sur les enfants abandonnés. Des vies cabossées dès le départ et pourtant, certains enfants arriveront à vivre au mieux.

Je vous remercie pour les détails que vous nous indiquez, ainsi j'étoffe la généalogie de mon arrière grand'père Paul Maher. J'ai noté aussi votre interprétation sur son nom de famille : oppresseur.

Ayant peu parlé le breton (jusqu'à l'âge de 3 ans), puis quitté mon Finistère natal, je pensais aux anciens comptoirs français de l'Inde... Mahé, Maher (é) puis prononcer er ére... De plus le bonnet d'indienne me confortait dans cette option.

Donc doublement merci pour tout ce puzzle que petit à petit je replace aux bons endroits.

 

Elisabeth Pierrel

Au sujet des exposés de Creac'h-Euzen

J'ai terminé votre livre depuis quelque temps, je reviens vers vous.

J'ai eu à le lire par petites goulées, et pour cause de temps, et par "affectivité". C'est à dire que "j'ai souffert". Je ne sais pas si c'est parce que j'ai un arrière-arrière-grand-père (paternel) enfant trouvé, mais j'ai souffert. Alors que j'ai tout de même déjà abordé le sujet (et plus !). Ce qui doit se traduire par un "bravo". Parce que non seulement vous arrivez à faire plonger le lecteur dans ce monde de misère, mais il y a les chiffres, tout ce travail immense sous-jacent, et donc un monde qui s'ouvre, des conclusions imparables.

J'ai beaucoup apprécié l'iconographie (tableaux, cartes, pub...), il y a là des images que je n'avais jamais vues (tout bêtement, la gravure de la page 7, par exemple). Pour moi, un tour, est une image familière : il se trouve que mes parents étaient installés à Dreux, où j'ai passé toute mon enfance (et plus), ma mère était prof au Collège Technique et vous savez bien que dans le pilier d'entrée se trouve le tour de cet endroit, cette image est claire, évidemment (ça ne l'est pas pour tous !).

Le destin des enfants m'a beaucoup impressionnée (hors enfants morts en bas-âge, évidemment) : vous donnez là des listes que je ne pense pas avoir encore vues, c'est plus qu'éloquent... J'ai toujours pensé que "mon" Louis EDOUARD était un sacré personnage, il l'était... pour s'en être "sorti" de la sorte (pas le seul, heureusement !).

 

Jean-Guillaume Riou

Au sujet des exposés de Creac'h-Euzen

Un commentaire sur votre ouvrage "Les exposés de Creac'h Euzen"

J'ai trouvé que globalement votre ouvrage était une réussite:

  • Sur le plan de la forme
  1. Le papier est beau
  2. Les images sont belles et bien choisies
  3. La disposition est agréable et facilite la lecture
  • Sur le plan du contenu
  1. La recherche est remarquable
  2. Sur le plan personnel je ne peux que me sentir concerné. Mon arrière grand-mère aurait eu un sort assez semblable ayant été exposée à l'hospice de Morlaix, ce qui m'a longtemps laissé indifférent, car elle est morte trente sept ans avant ma naissance. La lecture de votre ouvrage crée chez moi  un sentiment d'empathie pour elle et développe parallèlement la sympathie que j'avais déjà pour son mari ( dont je me souviens, car, lui, est mort lorsque j'avais cinq ans )
  3. Il me semble important de faire connaitre la mentalité de cette époque , car actuellement, sous couvert d'idées nouvelles, on retombe parfois dans ce que j’appellerai "des vieilles lunes" et votre ouvrage peut aider à ne pas se retrouver dans ces erreurs du passé.

Donc " Merci pour cet ouvrage" et "Bravo à toute l'équipe"

Danielle Fierdehaiche

Au sujet des exposés de Creac'h-Euzen

D'abord félicitations pour le travail considérable que vous effectué et qui m'a impressionnée.
Passionnée de généalogie que je pratique aussi régulièrement que possible, cette mise en mots de la vie de nos ancêtres qu'ont été ces enfants trouvés de l'hospice de Quimper a mis des images sur cette détresse de la misère humaine... et qui se sentirait indifférent à la lecture de vos recherches ?
Oui dans sa postface Christian Bolzer a bien raison de nous faire remarquer que cette problématique a bien changé. Heureusement ! Mais pour avoir côtoyé professionnellement toutes ces situations douloureuses, souvent désespérées, je peux témoigner que la détresse de ces enfants ressemble de près ou de loin à celle que j'ai perçue tout au long de votre ouvrage. Merci de l'avoir dit.


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